[Chapitre 6] Recouper les indices

[Loupvorace]

« Je vais aller voir Sonia. Tu m'accompagnes, Gil? Des fois où je serais pris d'une rage meurtrière et que je déciderais de jeter mon dévolu sur la pillarde... »

Tout en s'adressant à Gilraen, il s'était levé et il avait mis son arc à l'épaule puis vérifié ses fourreaux.

« Tu sais...Un incident est si vite arrivé! »

Sur ce, il fit un clin d'oeil complice en direction de l'elfe, puis il quitta la tente.

[toon]

Gilraen était complètement absorbé dans la contemplation du baton ayant appartenu au moine. Haaa..Curieux, pourquoi ce bâton est-il orné d'une tête de dragon ? Décidément c'est dragon à tous les repas... Par contre ça, ça pourrait intéresser Ygdrazor...

Puis il jeta son dévolu sur le broche Mouais, jolie mais..HO ! ca c'est une information !!

Ce fut Phérande qui sortit Gilraen de sa contemplation des objets du moine, et ce qui provoqua d'abord chez l'elfe un hoquet de surprise avant qu'il ne comprenne qu'il plaisantait. Le roublard soupira de soulagement et sourit au Rôdeur.

« Fais toi beau et apportes lui des fleurs alors.. »

Puis plus sérieusement, « Au fait, tu ne devais pas nous parler d'un gros chat ? »

Puis se tournant vers Ygdrazor il dit: « Ygdie, ce bâton était probablement magique avant qu'il ne soit brisé..Peut être que tu aurais une idée ? »

[Ardiemum]

Finissant le petit déjeuné tardif qui leur avait été amené, les compagnons se sentaient en pleine forme et prêts à affronter tout ce que cette belle journée ensoleillée pouvait leur réserver. Entendant la demande d’Ygdrazor, le gouverneur réfléchit un instant puis répondit. « Oui bien sûr, la bibliothèque de la mairie comporte quelques centaines d’ouvrages, mais rien de bien fascinant je ne crains. Peut être trouverais vous un ou deux vieux livres parmi les essais théologiques ou les traités de l’art de l’élevage et du laboure. Enfin si tant est que les pillards ne l’aient pas mise à sac. Du dernier rapport que j’en ai eut la plupart des bâtiments entourant la place centrale ont été soigneusement pillés et saccagés. » Un soupir d’abattement ponctua sa phrase.

Dreanne comptais accompagner le jeune mage dans ses recherches, et Kairos semblait également intéressé par le fait de sortir du carcan que commençait à devenir la forteresse. De leur côté, Rurik, Phérande et Gilraen semblaient intéressés par les informations supplémentaires que pouvaient détenir Sonia et le prisonnier ramené du temple.

[4] Tour – rez-de-chaussé (Gilraen / Phérande / Rurik)

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Laissant leurs trois camarades aller glaner des informations à l’extérieur de la forteresse, Rurik, Phérande et Gilraen se dirigèrent vers la grande tour de pierre où se trouvaient les geôles. Passant le pas de la porte et pénétrant dans la partie au rez-de-chaussée qui accueillait les deux cellules, les aventuriers trouvèrent Sonia dans la geôle de gauche, visiblement en forme et réveillée, attachée par la cheville à une chaine d’à peu près un mètre qui lui permettait quelques mouvements. Une assiette vide en terre cuite était posée à ses pieds, ainsi qu’un pot de terre contenant probablement de l’eau.

Dans la cellule de droite se trouvait le soldat qu’ils avaient ramené du temple de Chauntéa, lui aussi attaché par une chaine à la cheville. Mais contrairement à Sonia, le soldat ne semblait pas réveillé et était assis immobile contre le mur. Il portait toujours sa lourde armure et un casque intégral en métal recouvrait toujours son visage, ce qui semblait plutôt étrange.

Lorsque la jeune femme vit les trois compagnons entrer, elle se releva et s’approcha des barreaux en restant aussi loin que possible du soldat dans la cellule voisine. Elle s’arrêta à un mètre des barreaux, la chaine à sa cheville tendue. « Oh Mask soit loué, vous êtes revenu ! Laissez-moi sortir d’ici avant que le prétorien ne se réveille ! J’ai essayé de prévenir les gardes mais ils sont tellement à cheval sur leurs ordres que c’est comme parler à un âne ! »

« Eh, surveille ton langage vermine ! » cria l’un des deux gardes posté là à l’attention de la jeune femme. « Et si tu crois que ce sont tes élucubrations qui vont te faire sortir et éviter ton jugement tu ne manques pas de culot. »

[16] Mairie de Greenest (Ygdrazor / Dreanne / Kairos)

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Laissant leurs trois camarades aller interroger les prisonniers, Ygdrazor, Dreanne et Kairos se dirigèrent vers la place centrale où d’après les informations du gouverneur se trouvait la mairie et la bibliothèque. Passant la grande porte désormais grande ouverte laissant le passage au va et viens incessant des villageois et gardes, les compagnons descendirent le chemin qui menait vers le centre ville, passant devant les pylônes immobiles désormais inactifs. Les deux gardes que le gouverneur avait envoyé avec eux s’arrêtèrent là, s’attelant à en récupérer quelques uns pour les ramener dans la forteresse selon la recommandation d’Ygdrazor.

Après une dizaine de minutes de marche en cette belle journée de printemps, ils arrivèrent à la place centrale pour voir les dégâts causés par les pillards : maisons brûlés, meubles et ustensiles calcinés, tâches de sang séché au sol. Un grand brasier désormais éteint fumait au centre de la place, celui que Dreanne avait repéré avec la longue vue de Castellan, et quelques cadavres étaient empilés dans une charrette par trois gardes de la ville. Visiblement, les silhouettes agenouillées qu’il avait vue n’étaient pas celles de bandits…

La mairie n’était pas difficile à repérer, c’était le plus gros bâtiment autour de la place. Les portes à double battant gisaient brisées aux côté des quelques marches qui menaient à l’entrée. En pénétrant à l’intérieur, il apparut évident aux compagnons que l’endroit avait été saccagé, des tables, armoires, lustres et autres ustensiles gisants brisés au sol.

La bibliothèque se trouvait directement sur la droite du hall d’entré, et en y pénétrant Ygdrazor eut un haut le cœur devant le spectacle : une partie des rayonnages étaient renversés, et la plupart des ouvrages étaient soit manquant soit éparpillés en vrac sur le sol. Des feuilles déchirées et des moitiés de livres manquant ici une couverture et là des pages entières étaient dispersés partout sur le sol. La pièce avait beau ne pas être très des plus grande, la sensation de tristesse à la vue de tant de connaissances mises à sac ne pouvait laisser indifférent.

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[ Désolé d’avoir occulté une analyse du bâton par Ygdrazor mais c’est volontaire pour aller un peu plus vite. Ca pourra se faire plus tard pas de souci.

Dans la même optique, je vous ai séparé en deux groupes, un avec les prisonniers et un à la mairie. Essayez de ne pas sous-diviser plus les forces s’il vous plait, pour me faciliter l’écriture et la distribution d’information. ]

[le_gaillard]

Mask, Dieu des ombres et des voleurs...

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[ Que sait Rurik sur ce dieu?
1d20+3|15|12|0d39889e ]

Rurik s'approcha un peu plus de la cellule de la prisonnière. « Sonia, c'est bien cela? Calme toi. Tu veux sortir d'ici? Nous pouvons t'aider mais tu dois nous aider en retour. Qu'est ce qui te fais si peur chez cet homme en armure? » Puis il s'adressa aux gardes: « Y'a t-il une raison pour laquelle l'armure de ce prisonnier ne lui a pas été retiré? »

[pouish]

Ygdrazor avait porté son attention sur le bâton, suite à la remarque de Gilraën, avant de répondre à son ami. « J'y jetterai un oeil, ainsi qu'aux pylônes après nos recherches a la bibliothèque. Un simple rituel nous permettra de savoir s'il est bien magique et éventuellement de trouver un moyen de le réparer. »

Le magicien prit ensuite la direction de la place de greenest suivant les indications du gouverneur, en compagnie de Kairos et Dreanne. Arrivé sur les lieux, Ygdrazor fut horrifié par le spectacle qu'il avait sous les yeux. Comment pouvait-on ainsi détruire des trésors sans le moindre état d'âme...

Après quelques secondes sans la moindre réaction, le devoir repris le dessus.
« Ils ont saccagé le village mais ils n'ont pas tout détruit ou brûlé... Ouvrons l'oeil... Peut être qu'il cherchait quelque chose ici, qu'il n'ont pas trouvé. Il y a peut-être des indices qu'ils ont laissé. »
Et Ygdrazor commença a chercher des ouvrages ou documents intéressants sur tiamat, les masques ou l'inscription sur l'anneau de Gilraën. Il s'attarde sur les ouvrages dont certaines pages ont pu être arrachées par les pillards pour déterminer ce qui les intéressait ici.

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1d20+5|15|10|58163667

[toon]

GIlraen fut satisfait de voir que Sonia avait été bien traitée. Elle semblait cependant inquiète du fait de la présence de l'étrange soldat emprisonné dans la cellule voisine.

il s'adressa d'abord à Rurik en nain

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« Attends mon ami, il ne faut pas que le soldat puisse entendre ce qu'elle a à dire, je vous traduirait »

Puis à Phérande en Elfe

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« Attends mon ami, il ne faut pas que le soldat puisse entendre ce qu'elle a à dire, je vous traduirait »

Utilisant le langage des Voleurs, l'elfe se it à enchaîner une série de signes bizarres

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On va essayer de te sortir de là, mais dis moi quel est le problème avec le prétorien

mais sa voix disait « Te faire sortir de là ? Ca me parait bien compliqué ! Après ce que vous avez fait aux habitants de Greenest ! »

[Loupvorace]

Phérande ne savait trop ce dont pouvait avoir peur la pillarde puisque le prétorien faisait techniquement partie de son gang de truand...

Puisque Gil semblait savoir ce qu'il faisait, il hocha la tête en signe d'acquiescement.

Mais il ne put s'empêcher d'insister en elfique :

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« Tu veux bien t'assurer que là ou se trouve le moine et où elle a dit que le Matou oeuvre est le même endroit? »

[Ardiemum]

[4] Tour – rez-de-chaussé (Gilraen / Phérande / Rurik)

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A la mention par Sonia du dieu Mask, le clerc essaya de se rappeler ce qu’il savait sur la divinité en question. Il y avait ce que la plupart des gens savait : c’était le dieu des voleurs, des filous et menteurs de tous poils.
[secret=le_gaillard]Mais durant ses années d’études théologiques, il avait également appris à regarder au-delà des préjugés portés à certains dieux, et il savait également que le nom de Mask était prononcé pour contrer le mauvais sort par celles et ceux ayant vécu au banc du confort même modeste des cités : orphelins, éclopés, tuberculeux… Ceux qui survivaient plus que ne vivaient dans la rue voyaient le dieu Mask comme celui qui leur donnait chaque jour l’espoir de voir le lendemain.[/secret]
Baissant un peu la tête vers Rurik, le garde répondit à sa question. « Eh bien c’est un peu compliqué voyez-vous. Il se trouve que lorsque nous avons essayé de lui retirer son armure et son casque, les pièces de métal ont refusé de bouger. Comme si elles étaient collées à sa peau ou bien soudées entre elles par quelque sorcellerie. Et avec tout le bazar avec le dragon au moment de la venue du prisonnier, et le reste de la nuit, nous n’avons pas vraiment eut le temps de nous occuper de ça plus avant. »

« Je... » Voyant les gestes de Gilraen à son attention alors qu’elle s’apprêtait également à répondre aux questions du nain, elle devint soudain silencieuse et répondit à l’elfe de manière similaire, mélange de petits sont, mimiques et gestes parfaitement opaques pour tout autre que le roublard.

L’homme étendu là n’est plus un homme. C’est un prétorien : un serviteur dévoué du vol bleu, une branche du culte qui nous a embauché, et qui s’est volontairement laissé fusionné la chaire avec une lourde armure, et remplacé son cœur par une sorte de pierre chargée par l’électricité …

Les yeux de la jeune femme étaient remplis de panique et de soulagement à la fois. Elle sembla tout à coup ne plus pouvoir faire des signes assez vite et se repris à parler en langage commun. « S’il se réveille il tuera tous ceux qui ne portent pas la marque du vol bleu et ne s’arrêtera pas tant qu’il n’aura pas reçu ordre contraire ! »

[16] Mairie de Greenest (Ygdrazor / Dreanne / Kairos)

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De premier abord, le saccage qui avait eut lieu ici était désordonné et aléatoire. Compte tenu du volume que pouvait contenir les rayonnages, il semblait que tous les livres de la bibliothèque n’étaient pas ici répandus sur le sol. Sans doute les pillards en avaient-ils emmené certains, et brûlé d’autre sur la grande place centrale.

Mais en y regardant de plus près, Ygdrazor remarqua qu’alors que la plupart des ouvrages étaient détériorés de la sorte, ceux qui gisaient près de la section "Mythes & Légendes" semblaient avoir subi des dégradations plus ciblées. Feuilletant quelques ouvrages, il se rendit vite compte que certains étaient encore intacts, alors que ceux parlant de cultes ou de dragons avaient des pages spécifiques arrachées, comme si les pillards ne souhaitaient pas que certaines des informations qu’ils contenaient ne soient lues.

Seuls quelques mots ou bords d’illustrations étaient visibles dans les morceaux de marge restants. La partie la plus conservée parlait d’un culte vénérant les dragons maléfiques et leur reine qui serait enfermé dans les neufs enfers. Une phrase attira particulièrement son attention : « ... et lorsque les cinq masques seront réunis, un pour chacun des cinq seigneurs chromatiques, un pour chacun des cinq vols, la déesse parmi les dieux foulera à nouveau le monde, laissant … »

Une partie du coin d’illustration était visible également, mais le reste manquait. C’est alors que Kairos regarda le jeune mage les yeux écarquillés, lui tendant une page à moitié déchirée qu’il venait de ramasser non loin. Dessus était représenté un masque finement ouvragé quoique plutôt sobre, de couleur rouge écarlate, l’inscription "masque du vol rouge" inscrite en dessous.

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[ [secret=MD]1d20+1|4|3|d331b34c
1d20+2|12|10|73a8958e[/secret] ]

[pouish]

Ygdrazor avait commencé un tri méthodique des ouvrages pour essayer de déceler une logique, si l'on pouvait en parler ainsi, au pillage. Et il ne fut pas bien longtemps pour trouver des éléments de réponses.

« Ils ont saccagé principalement les ouvrages de mythes et légendes traitant des dragons et de cultes... et arraché les pages qui parlait directement ou indirectement de leurs activités. » Il se focalisa sur le livre qu'il avait dans les mains. « Ecoutez cela : "... et lorsque les cinq masques seront réunis, un pour chacun des cinq seigneurs chromatiques, un pour chacun des cinq vols, la déesse parmi les dieux foulera à nouveau le monde, laissant...". Il semblerait que nous avions vu... juste. Il faut cinq masques, un pour chaque dragon chromatique et visiblement, la gentille Tiamat reviendra faire un tour par chez nous... »

Le jeune magicien avait parlé avec une ironie évidente qui croissait au fur et à mesure qu'ils découvraient de nouveaux indices et qu'ils se rendait compte de l'ampleur des actes de ce culte du dragon. Lorsque Kairos lui montra la représentation d'un des masques, Ygdrazor observa attentivement les détails. « Maintenant, nous savons ce que les pillards cherchent... où ont peut être déjà trouvé. Nous devrions montrer cette image au gouverneur pour savoir si un tel masque se trouvait ou se trouve encore à Greenest. »

Puis le mage se remit en quête d'indices et d'ouvrages en se concentrant sur des références à des supposés géants nommés Esclarotta ou Blagothkus, les deux noms inscrits sur l'anneau qui aurait plus facilement pu être occultés par les pillards.

[toon]

Les révélations qu'avaient faites Sonia sur le Prétorien provoquèrent un tourbillon dans le cerveau de l'Elfe, il avait maintenant des milliers de questions à poser auquelles il fallait ajouter celle de Phérande.

il traduisit rapidement les propos que Sonia avaient signés en Elfe et en Nain pour ses 2 compagnons. Puis poursuivi haut et fort:

« D'accord, mais la marque du Vol bleu tu la portes ? A quoi elle ressemble ? Et par ailleurs sais tu si au campement des bandits il y aurait un nouveau prisonnier en plus de Matou ? »

il tourna la tête vers le Prétorien puis dit à Phérande et Rurik: « On ferait peut être bien de le neutraliser non ? SI on trouve son coeur et qu'on lui enlève ? »

[ben]

Dreanne était horrifié par l'ampleur du massacre et impressionné par les facilités du barde et du magicien a trouver des informations...

il resta silencieux, écoutant les explications des lanceurs de sorts en acquiesçant, ils avaient vu juste, c'était bien un rituel qui se tramait a l'horizon...

avisant un morceau de parchemin, une plume brisée et un peu d'encre, il redressa une table pour dessiner le symbole qu'il avait vu...



il montra ensuite son oeuvre a ses compagnons...

« c'était le symbole sur les caisses qui contenaient les pylônes... »

il chercha ensuite de son côté, essayant de ranger au mieux les ouvrages qu'il ramassait

« non mais quel gâchis, quand même... »

[le_gaillard]

La traduction des propos de Sonia mis Rurik sur ses gardes. Il était maintenant près à combattre. Il s'adressa d'abord aux gardiens « Par Moradin, soyez près, il pourrait y avoir de l'action! » Puis le nain dit à ces compagnons: « Vous avez une idée de comment percer son armure? Sinon, Sonia, tu connais le point faible de ces... choses? »