Harbek voit le chevalier en armure s'engouffrer dans le tunnel, alors que tout le monde dit qu'il faudrait revenir en arrière pour encercler la créature… Faisant fi de cette stratégie prudente, Harbek s'avance tout en chargeant son arbalète. Une fois dans l'alignement du couloir, le nain vise la créature, malgré la présence de Pwyll et de Jhörgan. Il compte sur leur réactivité pour se baisser lorsqu'il le leur dira…
Quelques secondes plus tard, le temps que le nain s'assure de la trajectoire, Harbek crie « Baissez-vous ! » et décoche son carreau.
Tu sautes de l'autre côté du trou rempli de pieux et tente d'éviter, avec succès, les coups de la créature avant de lui rendre la monnaie de sa pièce, avec beaucoup plus d'efficacité.
∎ Battlemap : Tralar, Pwyll, Elder, Méliane pour le R4
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[ J'ai eu des consignes de Philechat qui est absent quelques jours. Priorité à l'arbalète, donc…
Oui TBLM, au temps pour moi, ça s'est passé lorsque j'étais en vacances !
Harbek : Déplacement en L9. Action attaque à l'arbalète. ► Toucher arbalète légère, abri partiel pour la cible : 1d20(6) +3 => 9 et ► Dégâts carreau : 1d8(4) +1 => 5
Utilisation de la réaction de la goule pour utiliser son action préparée : attaquer. ► Toucher griffes : 1d20(3) +4 => 7 et ► Dégâts griffes : 2d4(2,2) +2 => 6. ]
Alors que le paladin traverse la fosse, Pwyll ne peut en faire autan sans gêner son compagnon. « Je le prends à revers. »
Le guerrier se déplace alors en direction du lit-barricade et commence à défaire ce qui a été fait.
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[
Déplacement en L10 1/6
► jet de force pour déloger le lit : 1d20(3) +2 => 5
Déplacement en j13 6/6
On est d'accord que j'ai grillé mon action? sinon je me tiens prêt à attaquer.
]
Le sort en était jeté, ils allaient poursuivre les goules pour achever leur non-vie. Méliane s'avança donc pour aider de son mieux ses compagnons. Voyant Pwyll essayer de déplacer un des lits pour prendre à revers leur ennemi, la prêtresse alla lui prêter main forte.
► jet de force pour aider à déplacer le lit si avantage accepté : 1d20(15) +2 => 17
Les mauvaises langues diront que de guerrier n'a pas pu enfoncer le lit que ses compagnons et lui-même avait dressé mais que c'est Méliane qui, d'un coup d'épaule bien placé, lui montra comment faire. De façon plus mesurée, on observera que le lit a bougé lorsque Pwyll s'est échiné dessus et que Méliane a donné la dernière poussée qui l'a fait basculer. Quoi qu'il en soit, les deux aventuriers n'étaient pas de trop pour renverser le lit-barricade.
∎ Battlemap : R4 : Tralar (quelqu'un le joue ?) et Elder !
Elder jette un œil dans le couloir Mais non, non, on va pas courir après ces créatures ? Il tourne la tête pour se plaindre à Tralar mais celui-ci passe devant lui en courant, lui clouant le bec et le décidant à ne pas rester seul. « Gnaté moi !! Gnaté moi !! » Dans la précipitation Elder se retrouve de nouveau en première ligne et pas n'importe où, dans la salle pleine d'os. [ Tralar court en J12 et Elder court en L12 ]
La goule, car c'est ainsi que vous décidez d'appeler la créature qui vous fait encore face, étant données les similitudes avec les récits d'aventuriers décrivant les cadavres animés d'une volonté affichée de dévorer les chairs, de griffes capables de paralyser et d'une certaine mesquine intelligence, quoique les récits faisaient souvent l'impasse sur l'odeur de putréfaction qui parfume profondément leurs environs, attaque encore Jhörgan, frénétiquement, désespérément.
Les mouvements sont trop désordonnés pour percer la solide défense du paladin qui riposte, épaulé tour à tour par ses compagnons. La créature s'effondre, à moitié démembrée. Celle là ne nuira plus jamais à personne.
J'ai terminé le combat parce que ce n'était plus très intéressant. Si elle avait réussi à paralyser Jhörgan, je ne dis pas, mais là…
Du coup, vous êtes de nouveau dans ce couloir, et vous entendez toujours la mélopée qui résonne dans les couloirs de terre et de pierre. Le son semble provenir du couloir ouest. ]
[ La créature est à 0% pvs sur la battlemap? ] [ Ce n'était pas vraiment le cas, même si j'avais abrégé ses souffrances, mais là, après tes jets de dés, on en est sûr ! ]