Étonné par le manque de résistance du mur, Pwyll l'est encore plus lorsqu'il se rend compte qu'au lieu du bois ou de la brique, il tombe sur des rats. « Je l'aurais préféré en pain d'épice celui-là »
Aspirant une bouffé d'air enfin frais, il se met à frapper dans le tas grouillant de rongeur. « Hamber passe par le mur ils sont en rat, t'occupes pas des portes guillotines! »
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P.S. c'est moi que me suis attaqué au mur, Jhörgan essayait de bloquer les lames
► Attaque : 1d20(12) +4 => 16
► Dégâts : 1d8(4) +4 => 8
]
Je tente de suivre, mais mes petites jambes rendent la chose difficile. Tant bien que mal j'emboîte le pas et essaie de suivre, passant par les trous laissés par les autres. Je passerai par les portes normales s'il y a plus de mur troué, c'est juste un peu moins dingue que les rats. Je me sens devenir fou...
Les rats couinent alors qu'ils se prennent des coups de toutes parts. Bien sûr, dans la confusion qui règne sur Pwyll, lui-même évitant instinctivement et bien malgré lui une partie des attaques qui lui pleuvent dessus, les rats évitent par la même une partie des coups. Pourtant, les rats morts écrabouillés ou carbonisés tombent de la masse grouillante, certains agonisants encore. Pwyll se débat, cogne sur lui-même. Mais la nuée est tenace.
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(les gens, faut quand même me dire ce que vous faites techniquement, en plus de tenter de fuir. Parce que c'est relou de chercher parmi vos capacités et les choisir et les jouer !)
Elder capte que Pwyll se débat avec des rats. Il réagit instinctivement en leurs lançant une gelure.
Puis réfléchit à tout ce que la maison leur envoie. Et si ce n'était que des illusions ? [ ► investigation : 1d20(20-14)D => 14 ]
Les coups que vous portez aux rats et les sorts qui en gèlent encore quelques uns ont raison de la multitude. Les rats, comme mus d'un pouvoir de décision unique, lâchent leur prise, tombent à terre et se dispersent en se faufilant. Certains des fuyards ne peuvent éviter les coups que vous faites pleuvoir lorsqu'ils se glissent entre vos jambes. Mais les autres disparaissent dans des trous dans les murs, dans les pièces voisines et grimpent sur les meubles, se glissant dans les interstices.
Reprenant vos esprits, vous enjoignez le lieutenant Hamber a vous rejoindre. Quelques secondes vous vous demandez s'il est prudent de lui faire détruire un mur, craignant qu'une nouvelle horde de rongeurs vous tombe dessus, mais finalement, il décide de passer au travers des lames. « Et……… HOP ! » et le lieutenant Hamber vous a rejoint, évitant les lames tranchantes.
Félicitant encore l'homme et son courage, vous empruntez le passage secret pour redescendre au deuxième étage. Vous empruntez le large escalier de marbre rouge. Vous n'en voyez la couleur cependant qu'à la lueur de vos boucliers rendus lumineux par les tours d'Elder : la maison, maintenant que ses volets se sont tous refermés et murés, est aussi sombres que les souterrain que vous avez exploré et que vous venez de quitter.
Dans les escaliers, le lieutenant vous raconte qu'il a fait semblant de jouer à la poupée avec les enfants. Le cœur n'y était pas vraiment. Il prend l'exemple de gros matou qui s'endort sur notre poitrine alors qu'on est couché sur notre paillasse. On est à la fois content qu'il nous ait choisi, et pourtant on redoute le moment où on va faire mine de se lever, craignant le coup de griffe. C'est dans cet état d'esprit qu'il a joué à la poupée. Très amusant. Puis, les enfants ont tous les deux regardé au sol, en poussant un petit cri de surprise, puis, ils se sont évanouis dans l'air. La lumière est devenue différente, plus sombre, plus épaisse, et l'air plus lourd. Les portes se sont brisées, remplacées par ces lames tranchantes. Finalement, vous avez émergé d'un mur… vous connaissez la suite.
Alors que vous êtes presque dehors, vous constatez avec effroi que deux dernières doubles portes ont été également remplacé par des lames. Cette fois, plutôt qu'un mécanisme qui fait bouger les lames de haut en bas, c'est un plus classique double balancier, comme les pendules d'une horloge, qui basculent, de gauche à droite, de droite à gauche. Il faudra traverser deux fois ces deux pièges mortels pour sortir définitivement de cette maison maudite.
Arrivé au rez-de-chaussée. Elder se jette au sol et glisse pour ramasser un des chapeaux qu'il avait jeter en dehors du placard. Il se relève et se coiffe avec avant de remarquer les lames qui barrent la sortie. Hamber l'a fait. Pourquoi pas moi ?
Il s'approche au plus près de la première lame et claque des dents et des genoux en bouffant les ongles de sa main droite. Il s'enchante, pour aider, et attend le moment où la lame arrive au milieu de sa route et tente de se glisser derrière elle rapidement avant qu'elle revienne. [ ► acrobatie : 1d20(18-12)D +3 => 15► guide : 1d4(1) => 1 ]
Sans trop y réfléchir, comme sonné par les bizarreries que cette maison me fait avaler depuis le début, je fonce vers les lames. Si Hamber passe, alors moi aussi je vais essayer, c'est ça ou plein de rats... J'observe attentivement le mouvement des lames pour tenter de passer au meilleur moment possible.
► acrobaties : 1d20(8) +1 => 9 ► avantage/désavantage possible? : 1d20(6) +1 => 7
Pwyll évalue la situation. Mince ça fait bien trop de mur à passer juste pour éviter une porte.
Il se positionne face à la porte et observe le timing des lames afin de trouver le moment adéquat pour traverser le piège. une inspiration et il se lance.
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► Acrobatie : 1d20(4) +5 => 9
Je suppose que je me les prends donc j'active second souffle (si je suis toujours vivant)
► second souffle : 1d10(7) +2 => 9 pv regagnés
]
Modifié en dernier par tywaz le 07 mai 2017, 17:36, modifié 1 fois.
Devant cet épineux problème, il vous faut vous décider. Certains d'entre vous se lancent, espérant passer au bon moment et être suffisamment leste pour éviter les balanciers mortels. Jhörgan, Hamber, Méliane et Elder choisissent cette approche, faisant confiance à leur souplesse. D'autres préfèrent observer avec attention le mouvement régulier et après une bonne minute à balancer la tête au rythme les lames, se propulsent comme des diables sur ressort. C'est le cas de Pwyll et Harbek.
Elder, muni de son chapeau, après moins de trois secondes d'hésitation saute. Et HOP, le voilà de l'autre côté, sur le péron, sous le balcon du premier étage. Muni de son plus radieux sourire, il fait signe aux autres de le rejoindre !
Jhörgan, confiant, se lance. SCHLAK ! Son bond est trop court et le gros balancier le percute. Si le tranchant des lames n'atteint pas la peau du paladin équipé de son armure métallique, la violence du coup est inouïe.
Harbek est tout de suite refroidi, si l'on puis dire, par ce qu'il vient de voir. Ça n'a pas l'air si simple, et plutôt que de se lancer immédiatement, prend le temps d'observer le mouvement régulier. Pwyll commente lui-aussi qu'il vaudrait mieux réfléchir plutôt que foncer comme l'a (encore) fait Jhörgan. Voilà les têtes du nain et du guerrier qui dodelinent en rythme. Harbek fait un pas en cadence, puis en second, puis un saut. Qui s'achève également dans la douleur.
Pwyll ne se laisse pas désarçonner et sans casser son rythme suit les pas de Harbek, espérant tout de même avoir plus de chance que son compagnon… Mais en vain, les cruelles lames le percutent au niveau de la cheville.
Si Hamber, pourtant hésitant, réussi miraculeusement à traverser le piège mortel dressé par la maison, ce n'est ni le cas de Méliane et Tralar qui fermaient la marche. SCRATCH, ZLIIIIP…
Malgré les blessures, vous êtes enfin sortis de cette maison maudite, hantée par les souvenirs des enfants innocents et par celui de cultistes dérangés.
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Pour ceux qui ont essayé de se caller sur le rythme, j'ai relancé un jet d'Intelligence. Bon, pas de chance. C'était un DD difficile.
► Dégâts Jhörgan : 2d10(3,10) => 13
► Dégâts Harbek : 2d10(10,8) => 18
► Dégâts Méliane : 2d10(2,4) => 6
► Dégâts Pwyll : 2d10(1,5) => 6
► Dégâts Tralar : 2d10(8,7) => 15
Vos PV, à mettre à jour sur vos fiches svp !
Harbek : 0 PV (Il faut faire quelque chose !)
Jhörgan : 0 PV (pareil !)
Tralar : 0 PV (ahah !)
Méliane : 8 PV (ouf !)
Pwyll : 10 PV
Hamber : 10 PV
Elder se porte au secour de Jhörgan et lui fait avaler la dernière baie qui restait au fond de sa poche. [ Il remonte à 1pv ] « Aller lève toi et use de ton don pou lever Glagla et Tata ! »