[Chapitre III] L'écueil du peuple
- TheBigLizardman
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Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
Clément te rend ton salut: « Tu as bien raison, la sagesse n'est jamais atteinte que par celui qui est conscient de son ignorance. Je rentre moi-même de mon voyage initiatique. Je suis rentré à l'instant, et je voulais passer au monastère, malgré les circonstances. » Il se penche un peu plus vers toi: « Tu étais donc là hier... Tu l'as vu? On m'a dit qu'il était... Inconcevable. »
- Antoine
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Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
« Clément… C'était… c'était un … un MONSTRE. Tu sais, nous étions au palais pour subir un interrogatoire concernant un groupuscule qui a perpétré des meurtres. Nous avons vu le dragon au travers des énormes baies vitrées du palais. Il s'est posé sur la cité et a écrasé la cité comme si elle était en carton. Elle s'est enflammée de la même manière… Nous avons réussi à fuir en empruntant un souterrain. Finalement, regarde ce champ de ruine. Il ne reste rien de la ville, et même l'appareil politique a été mis à mal avec l'assassinat du Duc.
Et toi, quels sont tes projets ? Rester auprès de la population ? »
Arthur, bien qu'en grande discussion avec son pair, garde dans le coin de l'œil ses nouveaux compagnons car il n'est pas question pour lui de les perdre de vue.
Et toi, quels sont tes projets ? Rester auprès de la population ? »
Arthur, bien qu'en grande discussion avec son pair, garde dans le coin de l'œil ses nouveaux compagnons car il n'est pas question pour lui de les perdre de vue.
- Scytale
- Perso : Aldrich
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Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
Aldrich est quelque peu contrarié qu'Arthur accorde son attention à ce zouave sorti de nulle part plutôt que de se préoccuper de ses questions, et choisit de répondre à Alix pour tromper son impatience :
« P'tet' que ça prendra des décennies, p'tet' que ça prendra des semaines. Qui sait ? En tout cas, ce qu'est sûr, c'est que le duché, lui, va remuer ! Bref, pas de raison de chômer. C'est justement parce qu'on sait pas à quoi s'en tenir qu'il faut ratisser large. Plus on en saura... bah plus on en saura. » conclut-il en une tautologie de bon aloi.
D'ailleurs, en parlant de ça, il n'a pas envie de prendre racine, aussi, se rapprochant de l'Irascible, il se racle la gorge pour attirer son attention :
« Je veux pas faire le cheveu dans la soupe, mais faudrait savoir ce que t'en penses de tout ça toi. Une fois qu'on sera fixés, libre à chacun de faire ce qu'il veut, mais j'aimerais bien qu'on soit d'accord. » fait-il d'un ton quelque peu acéré, ne pouvant s'empêcher d'être un chouïa agacé de voir le moine se faire en plus tout sucre tout miel face à son confrère alors qu'il était jusqu'à maintenant enclin à enguirlander tout un chacun à tour de bras. « En tout cas, pour Alix et moi, c'est parti pour Krasdenne. Qui nous aime nous suive, et pour les autres, rendez-vous dans deux mois à Llördll. »
Campé sur ses deux jambes avec son bâton en main et fermement posé à terre, il a visiblement l'intention de faire bouger les choses.
« S'il vous reste quelque chose à dire, je suis tout ouïe, mais sinon, pour moi, c'est en voiture Simone ! »
« P'tet' que ça prendra des décennies, p'tet' que ça prendra des semaines. Qui sait ? En tout cas, ce qu'est sûr, c'est que le duché, lui, va remuer ! Bref, pas de raison de chômer. C'est justement parce qu'on sait pas à quoi s'en tenir qu'il faut ratisser large. Plus on en saura... bah plus on en saura. » conclut-il en une tautologie de bon aloi.
D'ailleurs, en parlant de ça, il n'a pas envie de prendre racine, aussi, se rapprochant de l'Irascible, il se racle la gorge pour attirer son attention :
« Je veux pas faire le cheveu dans la soupe, mais faudrait savoir ce que t'en penses de tout ça toi. Une fois qu'on sera fixés, libre à chacun de faire ce qu'il veut, mais j'aimerais bien qu'on soit d'accord. » fait-il d'un ton quelque peu acéré, ne pouvant s'empêcher d'être un chouïa agacé de voir le moine se faire en plus tout sucre tout miel face à son confrère alors qu'il était jusqu'à maintenant enclin à enguirlander tout un chacun à tour de bras. « En tout cas, pour Alix et moi, c'est parti pour Krasdenne. Qui nous aime nous suive, et pour les autres, rendez-vous dans deux mois à Llördll. »
Campé sur ses deux jambes avec son bâton en main et fermement posé à terre, il a visiblement l'intention de faire bouger les choses.
« S'il vous reste quelque chose à dire, je suis tout ouïe, mais sinon, pour moi, c'est en voiture Simone ! »
- TheBigLizardman
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Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
Clément écoute ton récit avec grande attention, sans montrer de signe d'étonnement lorsque tu parles du palais, gardant son calme habituel. Sans te poser plus de questions sur le sujet, il répond aux tiennes:
« Je serais auprès de ceux qui nécessitent mon aide. » Une phrase typique de Clément le doux. Mais cette fois-ci, son expression semble légérement différente, quelque peu insistante, comme s'il utilisait "ceux" pour insinuer qu'il n'y a pas que la population de blessé qui nécessite son aide.
« Je serais auprès de ceux qui nécessitent mon aide. » Une phrase typique de Clément le doux. Mais cette fois-ci, son expression semble légérement différente, quelque peu insistante, comme s'il utilisait "ceux" pour insinuer qu'il n'y a pas que la population de blessé qui nécessite son aide.
- tywaz
- Perso : Gwalch
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Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
Ce qui devait être dit avait été dit, Gwalch les avait prévenus et il aller enfin pouvoir quitté cette ville.
« Bien si vous avez fait votre choix, moi je pars. Et prenez de quoi voyager. »
« Bien si vous avez fait votre choix, moi je pars. Et prenez de quoi voyager. »
- Arnaud
- Perso : Samia
- Localisation : Val-de-Marne, France
Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
Samia voit bien que l'impatience d'Aldrich est partagée par l'Epervier. Pourtant, si elle comprend l'empressement du bel oiseau à retrouver un peu de sa liberté, elle a du mal à saisir les motivations d'Aldrich.
Pourquoi est il si pressé de partir alors que le voyage va durer un mois au bas mot ? Et sa compagne, Alix... je peux me tromper, mais j'ai l'impression qu'elle n'a pas vraiment l'air satisfaite...
Samia sourit quand l’Épervier esquive la question d'Aldrich en profitant du discours de ce dernier. Il sait tenir sa langue quand il le faut.
D'un ton résolu, Samia confirme ses propos : « Épervier, je te suis. J'ai hâte de rencontre les elfes.
Aldrich, bonne chance à toi.
Alix... tu vas donc suivre ton... hum... Aldrich ? Ou bien veux tu te joindre à nous ? »
Concernant Arthur, Samia attend patiemment que lui et Clément ait terminé leur discussion avant de lui demander : « Arthur, vous joindrez vous à nous pour ce voyage ? »
Un peu plus bas, avec un sourire amical : « Nous pourrions terminer nos échanges philosophiques. »
Pourquoi est il si pressé de partir alors que le voyage va durer un mois au bas mot ? Et sa compagne, Alix... je peux me tromper, mais j'ai l'impression qu'elle n'a pas vraiment l'air satisfaite...
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D'un ton résolu, Samia confirme ses propos : « Épervier, je te suis. J'ai hâte de rencontre les elfes.
Aldrich, bonne chance à toi.
Alix... tu vas donc suivre ton... hum... Aldrich ? Ou bien veux tu te joindre à nous ? »
Concernant Arthur, Samia attend patiemment que lui et Clément ait terminé leur discussion avant de lui demander : « Arthur, vous joindrez vous à nous pour ce voyage ? »
Un peu plus bas, avec un sourire amical : « Nous pourrions terminer nos échanges philosophiques. »
- Scytale
- Perso : Aldrich
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Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
Face aux réactions d'Épervier et de Samia, Aldrich part du principe que qui ne dit mot consent, et donc que puisqu'ils n'ont pas objecté à sa proposition, ils sont d'accord avec. De toute manière, s'il ne les voit pas une fois arrivé à Llördll, il sera fixé. Il n'est pas fâché que la question soit (approximativement) réglée et de pouvoir repartir sur les routes. Après tout, c'est là qu'il se sent le plus à l'aise, sans compter qu'Arthur et Samia n'ont guère l'air de partager son opinion sur la mentalité qu'il s'impose d'avoir dans la situation présente. Quant à Deux-rapières... eh bien qui sait à quoi pense cet oiseau-là à part se moquer de tout et tout le monde...
En ce qui concerne Alix que la prêtresse mentionne, le Nordique ne relève pas l'hésitation de la noble et se tourne vers la brunette :
« C'est toi qui vois. Soit on fait le trajet ensemble, soit on se retrouve d'ici deux mois. » énonce-t-il cordialement et sans détours.
Et en parlant de ne pas faire de détours, le voyageur gratifie l'ensemble du groupe d'une inclinaison de tête, et répond à la demoiselle gravée tout en s'adressant également à Langue-pendue et au Véritable :
« Bonne chance à vous aussi. Prenez soin de vous. Qu'An... Quand on se reverra, on fera le point. » achève-t-il un peu malhabilement avant de se détourner et de se diriger vers Théodoric.
Il avait été sur le point de dire "Qu'Andros veille sur vous.", mais à quoi bon puisque les dieux n'existent pas ? Blür, Mithra... tout ça c'est du foin, des inventions, à en croire Somnos. Il n'y a que le cycle. Et d'ailleurs, peut-on même parler de "chance" ? À la lumière des bouleversements qu'il vient de traverser, Aldrich a le sentiment qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise fortune, juste un destin qui s'accomplit. Et où les mènera ce destin ? L'avenir le dira...
Je suis pas fait pour les grandes réflexions de toute manière.
S'adonnant à quelque chose de plus concret, il examine Hardi et le voit bien taché et efflanqué, sans compter que sa nudité est affligeante. C'est tout juste si ceux qui l'ont dépouillé ne lui ont pas aussi retiré ses fers ! Passant une main calleuse contre son flanc marqué de suie, il soupire :
« Faudra te donner un bon coup de brosse et un bon gueuleton toi... à moi aussi d'ailleurs. »
Rejoignant Théodoric, il lui fait en s'approchant un signe de la main, puis s'adresse à lui en ces termes :
« On peut y aller. Faudra juste qu'on passe reprendre des affaires pour moi et pour Hardi, sinon on est mal partis. Vous avez une bonne adresse où on pourrait se refaire un barda ? »
Il grince intérieurement des dents en pensant à tout l'or que ça va lui coûter, mais bon, c'est à ça que sert l'argent hein...
En ce qui concerne Alix que la prêtresse mentionne, le Nordique ne relève pas l'hésitation de la noble et se tourne vers la brunette :
« C'est toi qui vois. Soit on fait le trajet ensemble, soit on se retrouve d'ici deux mois. » énonce-t-il cordialement et sans détours.
Et en parlant de ne pas faire de détours, le voyageur gratifie l'ensemble du groupe d'une inclinaison de tête, et répond à la demoiselle gravée tout en s'adressant également à Langue-pendue et au Véritable :
« Bonne chance à vous aussi. Prenez soin de vous. Qu'An... Quand on se reverra, on fera le point. » achève-t-il un peu malhabilement avant de se détourner et de se diriger vers Théodoric.
Il avait été sur le point de dire "Qu'Andros veille sur vous.", mais à quoi bon puisque les dieux n'existent pas ? Blür, Mithra... tout ça c'est du foin, des inventions, à en croire Somnos. Il n'y a que le cycle. Et d'ailleurs, peut-on même parler de "chance" ? À la lumière des bouleversements qu'il vient de traverser, Aldrich a le sentiment qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise fortune, juste un destin qui s'accomplit. Et où les mènera ce destin ? L'avenir le dira...
Je suis pas fait pour les grandes réflexions de toute manière.
S'adonnant à quelque chose de plus concret, il examine Hardi et le voit bien taché et efflanqué, sans compter que sa nudité est affligeante. C'est tout juste si ceux qui l'ont dépouillé ne lui ont pas aussi retiré ses fers ! Passant une main calleuse contre son flanc marqué de suie, il soupire :
« Faudra te donner un bon coup de brosse et un bon gueuleton toi... à moi aussi d'ailleurs. »
Rejoignant Théodoric, il lui fait en s'approchant un signe de la main, puis s'adresse à lui en ces termes :
« On peut y aller. Faudra juste qu'on passe reprendre des affaires pour moi et pour Hardi, sinon on est mal partis. Vous avez une bonne adresse où on pourrait se refaire un barda ? »
Il grince intérieurement des dents en pensant à tout l'or que ça va lui coûter, mais bon, c'est à ça que sert l'argent hein...
- TheBigLizardman
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Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
Théodoric, qui était sortit du monastère avec vous, mais était resté distant pour vous laisser discuter, semble satisfait que la situation finisse par se dénouer.
Il répond à Aldrich:
« Si vous nécessitez quelque chose en particulier, je suis sûr que le Comte pourra vous le procurez une fois à Krasdenne. Pour ce qui est de la route, nous passerons aux écuries de la garde, de quoi vous trouvez une selle, et une arme. Vous êtes bien celui qui s'est débarrassé de cinq cultistes à vous tout seul? J'imagine que vous aviez meilleure lame alors que... votre bâton. »
Il va ensuite saluer le reste du groupe:
« Bien, messieurs-dames, nos routes se séparent ici. Connaissant le Comte, il trouvera un moyen de vous faire parvenir sa proposition. Si vous êtes sûr de votre décision, alors je vous souhaite un bon voyage. »
Il vous adresse un salut d'adieu qui ressemble plus à un salut militaire qu'à autre chose, mais l'intention était là. Il prend ensuite fermement son cheval par la bride, pour le tirer à quelques pas du groupe.
En enfourchant sa svelte monture brune, il s'adresse à Aldrich et Alix:
« La plus grande écurie se trouve aux portes nord de la ville, voilà qui nous arrange. »
Il répond à Aldrich:
« Si vous nécessitez quelque chose en particulier, je suis sûr que le Comte pourra vous le procurez une fois à Krasdenne. Pour ce qui est de la route, nous passerons aux écuries de la garde, de quoi vous trouvez une selle, et une arme. Vous êtes bien celui qui s'est débarrassé de cinq cultistes à vous tout seul? J'imagine que vous aviez meilleure lame alors que... votre bâton. »
Il va ensuite saluer le reste du groupe:
« Bien, messieurs-dames, nos routes se séparent ici. Connaissant le Comte, il trouvera un moyen de vous faire parvenir sa proposition. Si vous êtes sûr de votre décision, alors je vous souhaite un bon voyage. »
Il vous adresse un salut d'adieu qui ressemble plus à un salut militaire qu'à autre chose, mais l'intention était là. Il prend ensuite fermement son cheval par la bride, pour le tirer à quelques pas du groupe.
En enfourchant sa svelte monture brune, il s'adresse à Aldrich et Alix:
« La plus grande écurie se trouve aux portes nord de la ville, voilà qui nous arrange. »
- Antoine
- Perso : Arthur
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Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
Bien qu'en pleines retrouvailles, Arthur remarque tout de même le départ du cavalier gris, Théodoric. Après avoir rapidement et grossièrement énoncé ses obligations supposées vis à vis de son groupe (et du monde, peut-être, à en croire Sonmos), il prend congé de son frère Clément.
Retournant auprès de ses compagnons, il énonce enfin sa décision : « Je me répète, j'espérais que nous restions groupés. Je vois que cela n'est pas possible. Théodoric le gris à beau dire ce qu'il veut du comte de Krasdenne, je ne pense pas que nous trouverons une suite à ces événements. Je préfère pour ma part faire route vers le sud-ouest et me diriger vers Hondel. Je préfère en apprendre plus sur ce cycle auprès de ceux qui le perçoivent véritablement. »
Lançant un coup d'œil rieur à Samia : « Et donc c'est avec plaisir que nous pourrons parler, le temps du trajet, de ces sujets qui revêtent tant d'importance pour nous. »
Soudain, la bouche du moine se pince de contrariété. « Avons nous des chevaux ou une caravane qui puissent nous porter jusqu'à Hondel ou devrons-nous marcher ? Si Théodoric proposait des chevaux, je ne suis pas sûr qu'il nous les cédera si ce n'est pas pour nous rendre à Krasdenne. »
Retournant auprès de ses compagnons, il énonce enfin sa décision : « Je me répète, j'espérais que nous restions groupés. Je vois que cela n'est pas possible. Théodoric le gris à beau dire ce qu'il veut du comte de Krasdenne, je ne pense pas que nous trouverons une suite à ces événements. Je préfère pour ma part faire route vers le sud-ouest et me diriger vers Hondel. Je préfère en apprendre plus sur ce cycle auprès de ceux qui le perçoivent véritablement. »
Lançant un coup d'œil rieur à Samia : « Et donc c'est avec plaisir que nous pourrons parler, le temps du trajet, de ces sujets qui revêtent tant d'importance pour nous. »
Soudain, la bouche du moine se pince de contrariété. « Avons nous des chevaux ou une caravane qui puissent nous porter jusqu'à Hondel ou devrons-nous marcher ? Si Théodoric proposait des chevaux, je ne suis pas sûr qu'il nous les cédera si ce n'est pas pour nous rendre à Krasdenne. »
- Arnaud
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Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
« C'est vrai que sans chevaux, le voyage sera long. Et après ce qui s'est passé ici, les chevaux doivent être des denrées rares. Beaucoup de gens ont du chercher à quitter la ville... » sans compter les voleurs qui ont certainement profité du chaos pour emporter les bêtes avec leur butin...
« Épervier, avais tu une solution en tête, au moins te concernant ? »
« Épervier, avais tu une solution en tête, au moins te concernant ? »
- Scytale
- Perso : Aldrich
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Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
Avec un dernier regard pour les voyageurs en partance vers Hondel, Aldrich reporte son attention sur Théodoric qui lui adresse justement la parole. Haussant machinalement les épaules, ce n'en est néanmoins pas sans sérieux qu'il répond :
« En l'occurrence, je pensais surtout à un harnachement pour Hardi, et ce qu'il faudra pour manger et camper... éventuellement chasser et se soigner. On sait jamais ce qui peut arriver sur un trajet aussi long. » explique-t-il d'un air entendu, s'attendant à ce que le cavalier soit tout à fait au courant de ce genre d'impératifs. « Un arc serait aussi utile, et une arme d'hast de rechange, ce serait pas de refus, ouaip, même faut jamais sous-estimer un bon casse-crâne ! » conclut-il en ne pouvant s'empêcher de terminer son discours par un moulinet plutôt impressionnant de son vieux mais robuste bâton.
Pendant que l'envoyé du comte va présenter ses respects au reste de la bande, le Nordique repense à l'exploit mentionné : cinq hommes à lui tout seul... Ça ressemble à de la fiction. Il a beau se savoir bon combattant, il n'en revient toujours pas d'avoir fauché ces sectaires comme du blé mûr, sans recevoir une seule blessure de son côté. Se pourrait-il que cette force dont il se sent présentement habité ait déjà été à l’œuvre ? Possible...
Une fois le trio mis en branle, le barbu se contente de hocher la tête et de répondre « Faisons comme ça. » à la proposition de l'émissaire, tout en cheminant à ses côtés sans pour autant grimper sur sa propre monture afin de ne pas laisser Alix seule à pied. D'ailleurs, se tournant vers elle, il demande :
« Au fait, tu sais monter à cheval ? »
Et après quelques moments de réflexion, il s'adresse également à Théodoric, s'exprimant franchement :
« Puisque la question viendra tôt ou tard, autant que je mette les pieds dans le plat maintenant : est-ce que je fais mes courses de ma propre poche ou est-ce que vous avez un... un budget ? »
Le baroudeur ne paraît ni honteux, ni cauteleux, ni onctueux. Les questions d'argent ont beau être toujours délicates, il s'agit d'impératifs dont des hommes mûrs comme lui et le cavalier gris sont bien conscients et dont ils n'ont pas à rougir.
« En l'occurrence, je pensais surtout à un harnachement pour Hardi, et ce qu'il faudra pour manger et camper... éventuellement chasser et se soigner. On sait jamais ce qui peut arriver sur un trajet aussi long. » explique-t-il d'un air entendu, s'attendant à ce que le cavalier soit tout à fait au courant de ce genre d'impératifs. « Un arc serait aussi utile, et une arme d'hast de rechange, ce serait pas de refus, ouaip, même faut jamais sous-estimer un bon casse-crâne ! » conclut-il en ne pouvant s'empêcher de terminer son discours par un moulinet plutôt impressionnant de son vieux mais robuste bâton.
Pendant que l'envoyé du comte va présenter ses respects au reste de la bande, le Nordique repense à l'exploit mentionné : cinq hommes à lui tout seul... Ça ressemble à de la fiction. Il a beau se savoir bon combattant, il n'en revient toujours pas d'avoir fauché ces sectaires comme du blé mûr, sans recevoir une seule blessure de son côté. Se pourrait-il que cette force dont il se sent présentement habité ait déjà été à l’œuvre ? Possible...
Une fois le trio mis en branle, le barbu se contente de hocher la tête et de répondre « Faisons comme ça. » à la proposition de l'émissaire, tout en cheminant à ses côtés sans pour autant grimper sur sa propre monture afin de ne pas laisser Alix seule à pied. D'ailleurs, se tournant vers elle, il demande :
« Au fait, tu sais monter à cheval ? »
Et après quelques moments de réflexion, il s'adresse également à Théodoric, s'exprimant franchement :
« Puisque la question viendra tôt ou tard, autant que je mette les pieds dans le plat maintenant : est-ce que je fais mes courses de ma propre poche ou est-ce que vous avez un... un budget ? »
Le baroudeur ne paraît ni honteux, ni cauteleux, ni onctueux. Les questions d'argent ont beau être toujours délicates, il s'agit d'impératifs dont des hommes mûrs comme lui et le cavalier gris sont bien conscients et dont ils n'ont pas à rougir.
- tywaz
- Perso : Gwalch
Points de vie : 100 % - Localisation : Clermont-ferrand, France
Re: [Chapitre III] L'écueil du peuple
Gwalch se gratta la barbe en réfléchissant au problème de ceux qui vont le suivre.
« Ben ..., je comptais trouver une caravane ou y aller à pied dans le cas où il n'y aurait rien. J'ai pris assez de nourriture pour vingt jours et marcher ne m’effraie pas. »
« Ben ..., je comptais trouver une caravane ou y aller à pied dans le cas où il n'y aurait rien. J'ai pris assez de nourriture pour vingt jours et marcher ne m’effraie pas. »