« Bah merde, il n'était peut-être pas agressif finalement. Je suis désolé. » Il s'adresse autant à ses compagnons bien vivants qu'il a pu affoler qu'au zombie lui-même, qui lui fait un peu pitié sur la fin en essayant de parler avec sa gueule cassée. C'est presque aussi apitoyant que lorsque Ribéry fait des déclarations. Mais bon, Thomas n'a jamais été un fan de foot, c'est pourquoi il enchaîne:
« Pas de problème monsieur, nous restons ici. Merci de votre... aide. » Cela ne gêne pas Thomas de rester sur place, de toute façon, à part rentrer chez lui et essayer d'oublier, il n'a pas grand chose d'autre à faire. Et Thomas n'est pas dû genre à vouloir effacer des souvenirs.
Il range également sa carte dans son paquet. Je n'avais pas pensé au coût... Il n'y a pas de forêt pour que je puisse les utiliser de toutes façons. A moins que...
Thomas tire aléatoirement plusieurs cartes jusqu'à tomber sur une carte de terrain.
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