[Partie 1] Les aventuriers du Thomascouli perdu

[costjupial]

Jules voyant Jésus apparaître à ces côtés est surpris, il lance un regarde perplexe en direction de celui ci , puis repose sa main sur la porte pour l'ouvrir, au moment de tourner la poignée il regarde cependant Jésus :

« Doux moi même, bon pour répondre à votre question seigneur Jésus on va faire simple. Évangile de Saint Jean, psaume 15 verset 13 : "Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis." Paraît il que vous avez dit ça, aussi je cherche mon ami et j'y ai déjà perdu une vie. »

Jules se prépare donc de nouveau à ouvrir la porte avant de retourner une nouvelle fois sa tête vers Jésus :

« Cependant, nous n'avons pas été présenté. Je sais que vous êtes Jésus-Christ de Nazareth, mais pour ma part je préfère me présenter aussi, je suis Jules de Santa Fe. Aussi je préférerais vous parler d'homme à homme, d'égale à égale, ainsi puis je me permettre de vous tutoyer et de vous appelez simplement par votre prénom ? J'ajouterais aussi, pourquoi apparaissez vous à une personne qui certes ce dit que votre existence est potentiellement réelle et comme saint Thomas, je l'ai vu j'y ai cru, mais qui pour autant voit ses croyances se tourner vers un autre dieu ? »

[TheBigLizardman]

Jésus t'adresse un sourire chaleureux:

« Je comprend ta détresse mon enfant, mais cette porte apportera-t-elle plus de réponses à tes questions ouverte que fermée? Ne ferais-tu pas mieux d'ouvrir la porte de ton cœur? »

Puis écoutant avec attention le reste de tes questions, il te demande: « Ses croyances se tourner vers un autre dieu? Quel dieu est-ce donc là? »

[costjupial]

Jules regarde Jésus droit dans les yeux en lui répondant :

« Pour trouver mon pote ce sera plus facile d'ouvrir ces portes. Ah et pour les croyances, j'ai beau vous avoir rencontré je suis fidèle à Odin, je crois au Vahlalla et j'espère qu'il me reconnaîtra comme étant un guerrier apte à le servir. Sinon si ça ne vous dérange pas, j'ouvre la porte, je regarde, j'en tire des informations et ensuite on reprend notre discussion. »

Puis Jules se retourne vers la porte et l'ouvre pour de bon.

[NapoRen]

Louis entendant tout cela, rentre dans le saloon [ N11 ] et s'adressant à Jules-Didier :
« Bon bah en fait y'a rien à craindre des squelettes, ils en veulent uniquement à Mayeul et vu qu'on à l'air de revenir à la vie, on a qu'à les laisser faire, ça leur fera plaisir. »
Sur ce il se dirige vers le bar pour se poser un peu.

[TheBigLizardman]

Riri rejoint l'escouade de squelettes.

Pendant ce temps, Andréa, buvant son verre, le regard perdu dans le vide, ou plus précisément dans des souvenirs qui n'apparaissent parfois que dans le flot inlassable de l'alcool, avec une mélancolie qui peut se lire sur son visage, lance un regard en coin à ses deux amis qui s'approchent du bar, sans tourner la tête, de peur, peut-être, de ne plus faire front à ses souvenirs, ces souvenirs qui lui font face, invisibles, silencieux.

« Vous ai-je déjà raconté mon histoire? » Demande-t-il à ses deux amis, avec un fort accent italien, et un ton qui témoigne d'un éventuel cancer de la gorge.

« Je ne suis pas originaire d'ici. J'ai passé mon enfance sur les rivages de la Sicile. Ma Sicile natale. Une terre à laquelle j'appartiens, et qui n'appartient quant-à-elle plus qu'à mes souvenirs. J'ai grandi dans la Famiglia. Ce n'était pas facile tous les jours... Mais la Famiglia, ça ne s'oublie pas. » Pourquoi ce discours soudain sur ses origines? Andréa sentirait-il, comme par un pressentiment, une intuition mystérieuse, ce qui est en train de se passer à l'étage? Car alors qu'en bas, la lutte dans laquelle est engagée Mayeul ne semble pas intéresser ses amis, sauf Marc, qui a lui au moins la qualité de fidélité, et n'est pas totalement dénué d'honneur, contrairement à certains que nous ne nommerons pas, à l'étage se déroulent d'autres événements.
Jules décide que les conseils du Christ ressuscité ne valent guère son irrésistible envie, qui relève désormais semble-t-il de l'addiction, d'ouvrir des portes. C'est en tournant la poignée de cuivre, qui commençait à rouiller depuis fort longtemps déjà qu'une musique pointe à ses oreilles. Sa langueur dis tout de l'ambiance de cette salle, dont les murs noirs révélent la couleur de l'âme de ses occupants. Derrière son bureau, Elmo, dans son costume noir, une rose rouge à sa boutonnière, s'adresse avec une lenteur sacrée, et un fort accent italien à l'homme qui était venu le voir, assit en face de lui:

« Aujourd'hui, vous venez pleurer chez moi, en disant "Don Corleonelmo, rendez-moi justice!". Est-ce que je vois un peu d'amitié? Est-ce que je vois un peu de respect? Non, vous venez chez moi, et sans même m'appelez parrain, vous me demandez un meurtre. Qu'ai-je donc bien pu vous faire pour que vous me parliez avec aussi peu de respect? Sortez de ma demeure avant que mes amis ne vous raccompagne jusque dans votre pays. »

L'homme se lève, l'air mécontent, en déclarant: « Dans ce cas-là, adieu, Don Corleonelmo. » Il va jusqu'à la porte, et Jules lui bloquant le passage, il le fixe dans les yeux, et lui demande, avec son accent cubain prononcé: « Si vous voulez bien m'excusez. »

∎ Battlemap : à Mayeul

∎ Battlemap : Don Corleonelmo

[costjupial]

Jules laisse passer l'individu, lui tenant la porte avant de la refermer.

Jules s'adresse ensuite à Jésus :

« Seigneur Jésus, j'espère que vous me ferez l'honneur de m'accompagner durant ma quête, il est toujours plus agréable d'avoir une personne en qui on peut avoir confiance auprès de soi. Qui plus est si vous m'êtes apparu c'est bien pour une raison ? J'ai d'ailleurs un compagnon qui adorerais vous rencontrer, aussi je vous saurais gré de m'accompagner. »

Puis avant que l'individu ne parte, il l'interpelle :

« Veuillez m'excuser de vouloir me mêler de vos affaires, mais les quelques secondes de discussion que j'aurais entendu me donne l'impression que vous chercher quelqu'un pour vous aider, ai-je raison ? Auquel cas je suis prêt à vous aider. »

[Zargil]

Mayeul continue sa longue course jusqu'à la porte en prononçant ces mots :
« C'est pas vrai ! Colonel Hartman je vous prie de me croire, ces squelettes quel que soit leur métier ont tenté de me tuer alors même que je les libérais ! C'est eux les méchants ! Ils m'ont fait bobo avec leurs armes ! »
Puis il ouvre la porte.
[ il se déplace en -B21 et ouvre la porte en ultisant son interaction avec objet. ]

[TheBigLizardman]

Mayeul ouvre la porte, et tombe sur la piste d'héliportage. Un hélicoptère de l'armée américaine y est gardé, à l'arrêt.

***

À l'étage, Jésus rigole de bon cœur: « Mais non voyons, je ne suis pas apparu pour t'accompagner mon enfant, tu n'as pas lu ce que le seul véritable livre sacré, le Coran, »[ Ceci est une boutade, je respecte toutes les religions et leurs écrits, merci de ne pas péter un câble. ]« dit au sujet de mon retour? "Le prophète Jésus reviendra lors Géhenne pour faire face aux forces du mal". En gros, si je suis là, c'est parce que c'est l'apocalypse... » Il sort une paire de lunettes de soleil de sous sa sainte tunique. « ...Et que je dois botter le cul de Satan. » ajoute-t-il en enfilant ses lunettes de soleil. Puis il sort une Harley Davidson et une fusil à pompe de sous sa sainte tunique, enfourche la bécane, et vous lance un: « Hasta la vista, baby! » Puis il fonce, et grâce à une puissance de 2.21 Gigowatts, ne laisse qu'une trainée de flammes derrière lui.

L'inconnu, que nous appellerons Tony, regarde Jésus se barrer en commentant: « Quel crâneur ce Jésus, obligé de caser des références. Les vrais n'ont pas besoin de faire des références. » Puis il se tourne vers Jules: « Où on en était? Ah oui: C'est à moi que tu parles? T'as baisé ma femme? » te demande-t-il, avec un air agressif. « Je n'ai pas besoin d'aide, si tu veux aider quelqu'un, va plutôt aider Don Corleonelmo, ça c'est un homme qui a besoin d'aide. » vocifère-t-il avec véhémence. « T'aurais mieux fait de ne jamais venir me parler... Parce que la vie, c'est comme une boite de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Et avec moi, on va te retrouver éparpillé aux quatre coins de Paris façon puzzle. Car mes pieds, je les mets où je veux, et c'est souvent dans la gueule. » Après cette affligeante démonstration de grande finesse dans l'usage de références, Tony tourne le dos à Jules, partant vers le sud, en déclarant: « Je reviendrais. »

∎ Battlemap : Fin de tour pour Mayeul, puis à Jules-Didier

∎ Battlemap : Fail du recrutement

[costjupial]

Jules désappointé par ce double refus, ainsi que par le départ de Jésus sur une Harley Davidson, décide de continuer ce qu'il avait commencé, à savoir ouvrir des portes, non sans laisser une dernière phrase en tournant le dos à l'inconnu, ne cherchant pas à le suivre très loin dans son petit jeu :

« Voila qui met fin aux négociations. »

Il se dirige donc vers la porte la plus proche au nord afin de l'ouvrir, toujours à la recherche du Thomascouli

Comme disait l'autre, il faut se perdre pour trouver l'introuvable.

[Zargil]

[ Je finis ma course en -J23 ]

[TheBigLizardman]

Jules-Didier semble atteint de narcolepsie chronique car il retombe dans la même inconscience que lors de votre arrivée dans le donjon, et sombre aux pieds de Louis.

Le sergent Hartman regarde Mayeul fuir comme le sang de gobelin qu'il est. Médiateur, il essaye de trouver une solution pacifique, ou presque, car quand même c'est pas une grosse tapette de hippie bande de chiures de communistes. « Je vous propose de trouver une solution pacifique, ou presque, parce que je ne suis quand même pas une grosse tapette de hippie, bande de chiures de communistes! Quelle solution vous permettrait de vous tripoter les couilles de squelettes avec cet abruti chevelu sans vous entretuer, mais avec un max de violence militariste américaine quand même? » Un long temps de réflexion s'en suit. C'est alors que Danny a une idée: « Et bien, on a qu'à se disputer une partie du sport national du donjon, le blood bowl, ou "bol de sang" comme disent les portugais! » Il se tourne vers Mayeul en le pointant de l'index: « Tu m'entends Mammouth la moumoute? Je te prends avec n'importe qu'elle composition d'équipe jusqu'à huit! »

En haut, Jules ouvre encore une porte. Il découvre une pièce rustique, toute faite de bois, assez modeste, avec des têtes d'animaux et d'autres créatures étranges empaillées sur les murs, voir des bêtes entières dans les coins. Une grande table de bois se tient au centre de la pièce. Autour sont attablés un comité de joyeux lurons, des chasseurs visiblement, qui prennent l'apéro avec du rouge de campagne et du saucisson du terroir. Celui qui ressemble à un terrible alien prédateur se tourne vers le chevelu avec un bandana rouge: « Tu chasses quoi toi? » « Le cerf. » lui réponds le chevelu. « Au fusil? » « Non, avec ça. » Il plante un énorme couteau dans la table. « Ah. Et tu chasses quoi avec ça? » « Le cerf. » « Ah. On se répète là non? » Puis ils se tournent vers Jules, qui s'invite allègrement à leur réunion.

[ Je précise que vous pouvez essayez de convaincre les pnjs "followers" de passer le test de blood bowl pour jouer dans votre équipe. Je rappelle qu'ils sont listés avec leur niveau de relation et les bonus afférents dans le sujet dédié. ]

∎ Battlemap : En ordre libre pour parler

∎ Battlemap : Chasse, pêche, nature et traditions

[Zargil]

Mayeul reste peu confiant suite aux propos tenus par Hartman et les squelettes. Il se retourne jusqu'au pied de la porte, et se tiens devant la porte, prêt à la refermer si les squelettes avancent vers lui. « Ouais bah pour commencer vous allez me prouver votre bonne foi en sortant de la pièce et en me laissant sortir en toute sécurité ! S'agirait quand même pas de me blesser plus avant le match ! Alors écartez vous, allez à l'auberge si vous le voulez, mais ne restez pas sur mon chemin tant que le match n'a pas commencé ! On est bien d'accord ? Hein ? HEIIIINN ?? »