[Partie 1] L'affrontement - Mayeul

[TheBigLizardman]

« Je ne veux pas mourir encore une fois! »

► sabre : 1d20(13) +4 => 17
► dégâts : 1d6(3) +2 => 5

∎ Battlemap : Et l'attaque ricoche contre le bouclier

[Zargil]

« Ah. Bon bah on fais la paix alors ? Tu ferais mieux d'accepter ou sinon je t'exploses la gueule, et crois moi, ça ne sera pas agréable du tout, mais alors pas du tout. »
lui dis-je d'un air menacant.
► Intimidation : 1d20(5) => 5

[ Je me mets en esquive au cas où. Et c'est toujours forcément le charisme ? Parceque là pour le coup je lui ai cassé la gueule, et donc ce qui lui fait peur c'est plutôt ma puissance. ]

∎ Battlemap : Force ? Charisme ? +5 ? +0 ? Faites vos jeux !

[TheBigLizardman]

« Ah cool, bah faisons la paix alors. » Il rengaine son sabre et te tend la main en signe de paix.

∎ Battlemap : La paix?

[Zargil]

« Lol je déconnais mec ! Ahah t'es con ou quoi ? Ah bah oui c'est vrai ! Ahah, boloss ! »
Et je lui frappe sournoisement dessus à deux reprises, tel le gros malandrin que je suis.
► attaque 1 : 1d20(2) +8 => 10
► dégâts : 1d8(4) +5 => 9
► attaque 2 : 1d20(14) +8 => 22
► dégâts : 1d8(1) +5 => 6

[ Ah merde, plus qu'un pv ! ]

[TheBigLizardman]

« Ahahahah, elle était super bonne j'y ai cru! » dit-il dans un râle d'agonie atroce tandis qu'il dégaine son sabre.

► attaque : 1d20(2) +4 => 6
► dégâts : 1d6(1) +2 => 3

∎ Battlemap : et ça n'érafle même pas l'armure!

[Zargil]

« Deus Vult ! » lui dis-je en abattant mon épée sur lui.« Tu ne le sais pas encore, mais tu es déjà mort ! Guiguiguiguigui !! »*rire démoniaque*

► attaque 1 : 1d20(7) +8 => 15
► dégâts : 1d8(5) +5 => 10
► attaque 2 : 1d20(1) +8 => 9
► dégâts : 1d8(2) +5 => 7

[TheBigLizardman]

Tranché dans la fleur de l'âge, Zorgul disparaît à son tour. Le visage difforme et menaçant du tourbillon apparaît de nouveau pour décréter: « Ton prochain adversaire seraaaaaa: ce mec. Roger ou Raoul, j'ai oublié. » Et c'est là qu’apparaît en face Mayeul un homme en tenue de voyageur des années 20, son fusil en bandoulière autour du buste. « Oui bonjour, j'étais en chine et là pof un crabe géant, j'aimerais que l'on m'explique s'il vous plait, ah, et j'apprécierais également une prime de risque, je ne fais pas le boulot gratos. »

► initiative : 1d20(5) +1 => 6

∎ Battlemap : Roger ou Raoul

[Zargil]

« Ah bah tiens ! Toi ici ? Booon, ça devrait se passer tranquillement ! Ah, qu'est ce que tu fait ici ? Eh bien figure toi mon cher Gérard, Raoul ou André, que je suis l'équivalent de ton créateur, mais je préfère dire que je suis ton ange gardien. Tu as été envoyé ici par un malotru qui souhaiterait que j'affronte toutes les personnes dont je suis l'ange gardien sous prétexte que je m'occupe mal d'eux. Mais toi mon cher Gérard, Raoul ou André, ça n'est pas le cas ! Je m'y oppose ! J'ai toujours pris très soin de toi, et même à l'approche de la mort, tu as brillé tel un firmament ! Donc non monsieur le tourbillon qui est l'incarnation du Mj, je refuse de taper un type bien comme lui ! Pas vrai que t'es un type bien dit ? »

[TheBigLizardman]

Gérard, Raoul ou André est de plus en plus confus: « Euh... Oui j'imagine monsieur. » répond-il en hésitant. « Donc... Je peux ranger mon arme? On ne va pas se battre? »

[Zargil]

« Bah non mon vieux ! Je te le dis une fois de plus, je ne te taperais pas, je refuse de faire comme ce foutu MJ voudrait que je fasse ! Tu n'es pas mon ennemi Gérard, Raoul ou André, et je ne te veux aucun mal. Tu ne vas quand même pas tirer sur quelqu'un qui ne te veut que du bien ? »

[TheBigLizardman]

Sur ces mots, les murs de l'arène s'effondrent, dévoilant derrière eux un paysage de champs fleurit. Rien ne retient plus les combattants, qui sont libres d'aller. Aujourd'hui, ni joueur ni personnage n'aura plus besoin de combattre, et le convoyeur, Gérard, Raoul ou André, s'en va dans les coquelicots, un repos bien mérité après les horreurs vécues dans cette province cantonaise. Mayeul sent soudain quelque chose, qui l'attire, qui l'attire, qui l'attire, vers le haaaaaaaaaaaaaaut.
« Mayeul. Vous avez trouvé la seule victoire qu'il soit dans un combat contre soi-même. Vous avez désormais le droit de rentrer chez vous. Vous êtes libre. »