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A la mention par Castellan de la porte verrouillée, Gilraen sembla comme focalisé sur l’idée d’ouvrir la porte. A peine le nain eut-il fini de parler que déjà le roublard courrait à découvert à toute vitesse en direction de la tour. « Non mais qu’est-ce que… » Castellan n’eut pas le temps de finir que déjà Rurik se lançait à la suite de son camarade, laissant le nain à chercher quelque chose dans le grand anneau métallique rempli de clés qui était incrusté dans son armure. « Mais c’est moi qui ai la cl… »
Mais sa voix se perdit avec la distance, alors qu’un fracas retentit juste à l’est de la position des deux aventuriers. Levant la tête, ils virent la forme gigantesque du dragon survoler la muraille et passer assez bas au dessus de leurs têtes, en projetant un jet d’électricité sur les pierres du mur d’enceinte et continuant sur le sol de la cour centrale, passant violement entre Gilraen et Rurik sans les toucher directement. Du haut des remparts les gardes essayaient tant bien que mal de viser la bête de leurs flèches, mais les projectiles semblaient rebondir contre les écailles bleutées qui recouvraient son corps.
Le souffle avait brulé le sol sur presque deux mètres de large, et quasiment toute la largeur de la cour à cet endroit. Des morceaux de remparts s’étaient également détachés et avaient atterri ça et là autour des aventuriers, projetant des débris dans toutes les directions. Trop focalisés qu’ils étaient à se concentrer sur la porte dans la tour qu’ils n’avaient pas vu la menace du dragon approcher et n’avaient put esquiver quelques blessures dues aux débris environnants.
Mais sa voix se perdit avec la distance, alors qu’un fracas retentit juste à l’est de la position des deux aventuriers. Levant la tête, ils virent la forme gigantesque du dragon survoler la muraille et passer assez bas au dessus de leurs têtes, en projetant un jet d’électricité sur les pierres du mur d’enceinte et continuant sur le sol de la cour centrale, passant violement entre Gilraen et Rurik sans les toucher directement. Du haut des remparts les gardes essayaient tant bien que mal de viser la bête de leurs flèches, mais les projectiles semblaient rebondir contre les écailles bleutées qui recouvraient son corps.
Le souffle avait brulé le sol sur presque deux mètres de large, et quasiment toute la largeur de la cour à cet endroit. Des morceaux de remparts s’étaient également détachés et avaient atterri ça et là autour des aventuriers, projetant des débris dans toutes les directions. Trop focalisés qu’ils étaient à se concentrer sur la porte dans la tour qu’ils n’avaient pas vu la menace du dragon approcher et n’avaient put esquiver quelques blessures dues aux débris environnants.
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Voyant que ses camarades étaient afférés à ouvrir la porte comme ils le pouvaient, Ygdrazor se dirigea vers la porte en bois de la salle des gardes la plus proche de sa position. Après avoir entre-ouvert le battant pour s’assurer qu’aucun danger immédiat ne l’attendait de l’autre côté, le mage ouvrit complètement la porte et se dirigea sur les remparts à l’extérieur.
Il avança de quelques pas sur les larges murailles de pierre, éclairées par des torches disposées à intervalles réguliers de dix mètres. Un peu plus loin de l’autre côté de la cour, il pouvait voir les dégâts qu’avaient causé le premier passage du dragon. En contrebas, il vit une silhouette familière sortir en trombe du tunnel et courir à grandes foulées vers la tour ; suivi d’un peu plus loin par une silhouette plus petite : Gilraen et Rurik.
Soudain, un claquement électrique se fit entendre et un fracas retentit a à peine quelques mètres de lui. Des blocs de pierre volèrent en morceau de la muraille alors qu’un jet d’électricité plus large que lui balayait une partie de la muraille ainsi que la cour en contrebas. Une ombre passa juste au dessus de sa tête, et levant les yeux il put voir l’aile étendue de la bête le survoler ; créant un déplacement d’air qui fit flotter ses cheveux et ses habits.
Le souffle avait brulé le sol en contrebas sur presque deux mètres de large, et quasiment toute la largeur de la cour à cet endroit. Des morceaux de remparts s’étaient également détachés et avaient atterri ça et là autour de ses deux compagnons, projetant des débris dans toutes les directions. Du haut des remparts les gardes essayaient tant bien que mal de viser la bête de leurs flèches, mais les projectiles semblaient rebondir contre les écailles bleutées qui recouvraient son corps.
Il avança de quelques pas sur les larges murailles de pierre, éclairées par des torches disposées à intervalles réguliers de dix mètres. Un peu plus loin de l’autre côté de la cour, il pouvait voir les dégâts qu’avaient causé le premier passage du dragon. En contrebas, il vit une silhouette familière sortir en trombe du tunnel et courir à grandes foulées vers la tour ; suivi d’un peu plus loin par une silhouette plus petite : Gilraen et Rurik.
Soudain, un claquement électrique se fit entendre et un fracas retentit a à peine quelques mètres de lui. Des blocs de pierre volèrent en morceau de la muraille alors qu’un jet d’électricité plus large que lui balayait une partie de la muraille ainsi que la cour en contrebas. Une ombre passa juste au dessus de sa tête, et levant les yeux il put voir l’aile étendue de la bête le survoler ; créant un déplacement d’air qui fit flotter ses cheveux et ses habits.
Le souffle avait brulé le sol en contrebas sur presque deux mètres de large, et quasiment toute la largeur de la cour à cet endroit. Des morceaux de remparts s’étaient également détachés et avaient atterri ça et là autour de ses deux compagnons, projetant des débris dans toutes les directions. Du haut des remparts les gardes essayaient tant bien que mal de viser la bête de leurs flèches, mais les projectiles semblaient rebondir contre les écailles bleutées qui recouvraient son corps.
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S’élançant contre la porte de tout son poids, Phérande n’eut pour seul résultat que le bruit mat de son corps contre le bois. Posté juste à côté, les aventuriers entendirent cependant un très léger craquement de l’autre côté de la porte. S’élançant à son tour, Kairos projeta son corps sur la barrière de bois tel un taureau dans l’arène. Un craquement plus fort se fit entendre et la porte s’entrouvrit légèrement.
Poussant le lourd battant de bois et de fer, les compagnons s’aperçurent que l’espace inférieur entre la porte et le sol était plus étroit qu’il ne le fallait et que cela créait une résistance naturelle. Une fois la porte complètement ouverte, ils remarquèrent également que ce qui ressemblait à un verrou rudimentaire en bois gisait en morceaux sur le sol. Soudain, un bruit sourd se fit entendre à l’extérieur, étouffé par l’épaisseur des murs de pierre.
Ils pénétrèrent dans la pièce sombre, qui s’éclaira soudain comme par magie, des lanternes s’allumant tout autour de la salle, laissant apparaitre devant eux l’objet de leur ascension : une robuste baliste en bois bardée de lattes de métal trônait majestueusement au milieu de la pièce. Elle reposait sur une sorte de passerelle de bois qui la portait à mi-hauteur et permettait ainsi d’accéder aussi bien au dessus et aux côtés de l’engin, qu’aux parties mécaniques qui se trouvaient dessous. Aucun carreau n’était glissé dans la machine, et le système de tir était au repos.
La partie centrale de la plateforme était circulaire, et quatre cordes descendaient du plafond pour s’y attacher, le tout relié à un système de poulies et un large volant circulaire en bois. Au dessus de la baliste, une grande trappe était visible dans le plafond de bois, apparemment assez large pour faire passer l’engin et le socle sur lequel il reposait. Le reste de la pièce était rempli de pièces de rechange, de lourds carreaux et autres tonneaux, cordes et sacs en tout genre.
A l’opposé de leur position se trouvait une échelle qui montait vers le plafond avant de disparaitre par une petite trappe fermée, assez large pour un homme de corpulence normale. A côté de l’échelle se trouvait une sorte de levier pointant vers le haut.
Poussant le lourd battant de bois et de fer, les compagnons s’aperçurent que l’espace inférieur entre la porte et le sol était plus étroit qu’il ne le fallait et que cela créait une résistance naturelle. Une fois la porte complètement ouverte, ils remarquèrent également que ce qui ressemblait à un verrou rudimentaire en bois gisait en morceaux sur le sol. Soudain, un bruit sourd se fit entendre à l’extérieur, étouffé par l’épaisseur des murs de pierre.
Ils pénétrèrent dans la pièce sombre, qui s’éclaira soudain comme par magie, des lanternes s’allumant tout autour de la salle, laissant apparaitre devant eux l’objet de leur ascension : une robuste baliste en bois bardée de lattes de métal trônait majestueusement au milieu de la pièce. Elle reposait sur une sorte de passerelle de bois qui la portait à mi-hauteur et permettait ainsi d’accéder aussi bien au dessus et aux côtés de l’engin, qu’aux parties mécaniques qui se trouvaient dessous. Aucun carreau n’était glissé dans la machine, et le système de tir était au repos.
La partie centrale de la plateforme était circulaire, et quatre cordes descendaient du plafond pour s’y attacher, le tout relié à un système de poulies et un large volant circulaire en bois. Au dessus de la baliste, une grande trappe était visible dans le plafond de bois, apparemment assez large pour faire passer l’engin et le socle sur lequel il reposait. Le reste de la pièce était rempli de pièces de rechange, de lourds carreaux et autres tonneaux, cordes et sacs en tout genre.
A l’opposé de leur position se trouvait une échelle qui montait vers le plafond avant de disparaitre par une petite trappe fermée, assez large pour un homme de corpulence normale. A côté de l’échelle se trouvait une sorte de levier pointant vers le haut.
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[ Je considère que Gilraen et Rurik sont toujours dans la cour centrale, vu qu'ils n'ont pas vu l'attaque du dragon arriver.
Pour le coup, les deux PJs dans la cour + celui sur les remparts vous pouvez attaquer le dragon avec Désavantage (pour représenter l'effet de surprise) si vous le désirez, en réponse à son attaque vu qu'il est passé assez près de vous tous et en a même décoiffé Ygdrazor .
Informations diverses :
]
1d20+3|7|4|ea220ddb
1d20-1|8|9|8b074000
1d6|4|4|36dca2d7
Pour le coup, les deux PJs dans la cour + celui sur les remparts vous pouvez attaquer le dragon avec Désavantage (pour représenter l'effet de surprise) si vous le désirez, en réponse à son attaque vu qu'il est passé assez près de vous tous et en a même décoiffé Ygdrazor .
Informations diverses :
]
- Gilraen = -4PVs
- Rurik = -4PVs
1d20+3|7|4|ea220ddb
1d20-1|8|9|8b074000
1d6|4|4|36dca2d7