Une fois la porte de Bérégost passée, Ulgar déchargea le cadavre du chefs des malandrins, et vint interrompre la valse des gratifications et des regrets, en s'adressant d'une voix sévère aux femmes, les yeux brillants d'une froide détermination: D'abord ces dames, après ...
« Dame Bacca et filles, maintenant que nous avons accompli notre mission, je dois m’exprimer clairement.
"Par Tempus, douter de ses alliés au combat est un péché mortel !"
Vous nous avez menacé alors que nous tentions de protéger vos vies et votre aveuglement aurait pu coûter la vie à beaucoup d'entre nous.
Par chance, la protection des Dieux a permis d'éviter le pire. Songez que lorsque Timora intervient, sa sœur n'est pas loin... »
- Une lourde respiration -
« Vous nous avez insulté, sans rien savoir de notre passé ou de notre filiation. Je ne l'oublie pas, mais les aînés enseignent qu'il faut savoir pardonner. »
- Son regard scintille -
« A l'instant encore, votre préoccupation ne va pas dans la bonne direction. "Entendez la voix de Valkur, le vent hurle autour de VOUS et de ce que vous représentez." Si vous requérez le concours de mes compagnons, vous devez vous interroger et nous fournir des réponses... »
- Ses bras s'écarte -
« Découvrir qui sont ces malandrins, s'ils servent bien les adeptes de Mirkul et POURQUOI ILS VOULAIENT VOUS NUIRE EST ESSENTIEL !
'Chassez Sunie de vos pensées et étreignez la Cavalière Rouge !' ... »
Il désigne le cadavre empoisonné, et engage du regard ses compagnons.
« Je ne connais pas ce bourg. Il nous faut trouver un prêtre pour interroger ce corps. »